Pina B. vue par… [Montre moi (ta) Pina]

Mise en scène Adrien Béal
Avec Adrien Béal, Arthur Igual et Angélique Zaini

Les 25 et 26 janvier 2010 au Théâtre de Vanves.
Courte pièce commandée par le Festival Artdanthé.
Création collective 2010 pour 28 chorégraphes et metteurs en scène.
Sur une idée de José Alfarroba. Coordination Jeanne Candel.

Avec Nabih Amaraoui & Matthieu Burner / Adrien Béal / Lucie Berelowitsch / Jeanne Candel / Josselin Carré / Cédric Charron & Annabelle Chambon / Collectif TV / Raphaël Cottin / Herman Diephuis / Marie-Jo Faggiannelli / Geisha Fontaine et Pierre Cottereau / Ami Garmon / Julien Herrault + Xavier Deranlot / Marta Izquierdo / Thomas Lebrun / Leonard & Jeroen / Kataline Patkaï / Clément Layes / Yves-Noël Genod / Waldemar Kretchkowsky/ Fabrice Lambert / Julien Lacroix / Mylène Lauzon / Viviana Moin / Thomas Quillardet / Ellen Rijk / Gaël Sesboué / Andréa Sitter / Árpád Schilling

Presse

Le monde

« Montre-moi (ta) Pina. Pas très sérieux comme titre. C’est celui de la soirée imaginée par José Alfarroba, directeur du festival Artdanthé, au Théâtre de Vanves, qui vise à rendre hommage à la chorégraphe allemande Pina Bausch (1940-2009). Fan aussi, il désirait la saluer à sa manière. Quelques mois avant sa disparition, il avait lancé l’idée auprès de quelques chorégraphes.
Ils sont trente à participer. Le cahier des charges est strict : quatre minutes maxi pour la performance, deux musiques, deux costumes, mais autant d’interprètes que l’on veut en scène.
Une fête pour Pina. » Rosita Boisseau
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Télérama

« Qui nommer, qui célébrer dans cette cohorte éphémère, qui voudrait-on ne pas oublier ? Guesch Patti, incroyable, increvable de solide grandeur, qui sembla dialoguer directement avec Pina la patronne (j’ignore ce qu’elles se sont dit) ; ou le duo formé par deux jeunes comédiens à l’inquiétante ingénuité, Pierre Niney et Marie-Charlotte Chevalier ; ou la reconstitution hors sol de Café Müller (l’une des pièces légendaires de Pina Bausch) par Adrien Béal, Arthur Igual et Angélique Zaini ; ou encore les deux – comment les définir ? – « plastico-comédiennes-à-l’occasion-employées-de-surface » Jeanne Candel et Charlotte Corman ? Me reviennent encore la grâce presque toxique du danseur et chorégraphe Raphaël Cottin, ou le geste diaphane d’Yves-Noël Genod, ou le déhanchement du grassouillet Thomas Lebrun…
Le temps d’une soirée, ces hommes et ces femmes ont posé leurs propres mots et gestes après ceux de Pina Bausch, sans fétichisme, sans arrogance. Ils ont eu de la joie à le faire. Et nous à les regarder le faire. Chapeau bas. » Daniel Conrod
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Images de danse

« Un truc de malades, comme il n’y en a que quelques-uns par siècle. » Jérome Delatour
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Un soir ou un autre

« Chacun est d’abord fidèle à lui-même. Andrea Sitter valse avec la pudeur et le ridicule, et l’enjouement feint. Marie Jo Faggiannelli danse avec ses fleurs. Yves Noël Genod fait semblant d’improviser, et parle d’Yves Noël Genod. Thomas Lebrun est digne, superbe et hilarant. L’allusion en reste au jeu de mots, avec Gaël Depauw qui gouaille et tient des pines. Adrien Béal souligne ironiquement la fuite des souvenirs.
[…] tout cela finit par former le portrait chinois, brouillon et vivant, non de madame P.B. mais d’une génération qui ne renie pas ses influences et cet héritage particulier. » Guy
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